BARCA - MILAN (1/8E RETOUR LDC 2012-2013): LES NOTES DE MILAN

Hier soir, Barcelone avait moins d'une chance sur cinq de se qualifier au coup d'envoi. Christophe Josse, le Christian Jeanpierre de Beinsport (Existe-t-il un club des CJ?) s'est bien chargé de nous le rappeler, en un peu mieux quand même. Bixente n'était pas là, du coup on était vraiment peinard pour regarder le Barça se faire éliminer. Cinq minutes plus tard, Eric Dit Micro a compris ce qui allait se passer. 4 - 0. C'est toujours plus marrant de noter les perdants, surtout quand il perdent si bien. Du coup, on a décidé de mettre 8/10 à tout le monde sauf onze joueurs. Que voici.

Abbiati (4/10): Déjà quand il était jeune il était vieux, alors maintenant qu'il est vieux vous imaginez. L'éternel gardien qu'on a voulu remplacer au mercato, parce qu'il était le maillon faible de l'équipe. Mais ça c'était quand l'équipe avait une défense. Maintenant, c'est le maillon fort, et ça c'est triste.

Abate (4.5/10): Avec ses cheveux rasés malgré une petite mèche blonde qui dépasse, il ne pouvait pas être du côté des gentils hein. Ignacio essaie de toutes ses forces de ressembler encore plus à Marco Reus. D'un côté c'est un pari réussi puisqu'il ne défend plus, mais de l'autre c'est embêtant parce qu'il ne joue pas au même poste.

Méxès (3/10): Franchement on l'aimait bien Philippe, mais l'interview dans L'Equipe pour se rappeler aux bons souvenirs de Didier Deschamps après avoir enchainé deux bons matchs... Ca lui retombe forcément sur la gueule. Sans regrets, car tu sais qu'à la finale il aurait aurait été mauvais, donc autant s'arrêter en 1/8e.

Zapata (2.5/10): Le cirque aura duré 90 minutes. Au programme: beaucoup de LOL avec la troupe de onze clowns venus d'Italie, dont le petit M'Baye et sa crête qui fait semblant d'aller marquer un but seul face au gardien, mais qui le rate. LOL. Puis un numéro du Pharaon métrosexuel italien, qui ne sait visiblement plus trop qui il est et d'où il vient. Ca a fait un peu peur aux enfants, mais pas à Victor Valdès.

Constant (2/10): Le premier Kevin de l'équipe a redonné à David Villa un peu de confiance, ce qui est déjà une belle performance. Quand il fait un bon match on dit qu'il est français, mais qu'il a choisi de jouer en Guinée, son pays d'origine. Hier soir, il était 100% guinéen.

Flamini (4/10): Une sorte de Flammekueche adaptée à l'italienne. C'est pas mal pour s'intégrer dans le vestiaire: "Regardez moi aussi je sais faire des trucs qui ressemblent à des pizzas, avec des petits lardons et tout!" Oui Mathieu, mais n'oublie pas d'aller t'entrainer quand même. A failli mettre une madjer. A failli.

Ambrosini (1/10): Ca ressemble à une voiture de sport (comme tous les noms italiens quoi, ça aurait aussi pu être un nom de pizza hein). On l'imagine puissante, brillante. Mais ce soir, on était plus près de la caravane de Gignac ou de la Ferrari accidentée de Cristiano que d'une bagnole de luxe.

Montolivo (1/10): Riccardo n'est pas une fille, car visiblement il n'a pas de shampoing. Allo, vous me recevez, tout ça. Ce qui est sûr, c'est que ce n'est pas un garçon non plus, sinon il aurait des couilles. Ou alors il a des couilles dénoyautées?

Boateng (3.5/10): "Massimo, faites moi penser à virer l'esthéticienne du club, s'il vous plaît." On se demande comment Silvio peut accepter de payer onze gonzesses pour jouer un sport de bonhomme. Kevin-Prince, c'est le genre de mec qui va se faire plein de tatouages pour paraître viril, mais qui va s'épiler le bout du sourcil. La cerise sur le ghetto en quelques sorte. Sinon Kevin-Prince comme prénom on a le droit?

El Shaarawy (3.5/10): Petite perle du football italien ou pas, il va falloir que sa maman lui confisque sa carte bleue. Ca suffit les bêtises. Un italo-égyptien qui s'appelle Stéphane, on comprend qu'il soit un peu dérangé, mais à ce niveau là c'est pornographique.

Niang (2/10): Jouait à Caen l'année dernière. Tout est dit, mais continuons quand même. Le deuxième français de l'équipe (quoi? oui il n'y en avait que deux) a montré qu'à 18 ans, il est possible d'avoir un énorme melon tout en ayant une toute petite tête. D'ailleurs, tout le monde s'est demandé en le voyant: Comment peut on réfléchir en ayant une si petite tête? La réponse est dans la question, et dans ses interviews.

Robinho (4/10): Petit robinet en portugais. Lui au moins il en a un. On l'a trouvé bon, sinon, franchement. A part sa merde coup-franc qui amène le 4-0, il a été rigolo. Rien à voir mais vous remarquerez que normalement, deux montolivo plus un robinho, ça fait de toi un homme. D'environ 10-12 ans.

Bojan (4/10): On s'est demandé tout le match comment il allait fêter son but contre son ancien club. Petit geste de la main à la CR7? T-shirt sous le maillot en hommage aux supporters catalans? Puis, au coup de sifflet final, on s'est souvenu qu'il ne marquait jamais de buts.

Muntari (3/10): Il nous a Sulley.